Sonate au clair de lune (pv Reivax)

Hum...la délicieuse détente. Ça faisait un bail que je n'étais pas montée sur les toits de la maison close. Du temps où j'officiais ici, cette chambre n'existait pas. Bien calée dans les fourrures et allongés dans des centaines, que dis-je! Des milliers de coussins moelleux.
Revenir ici me rappela le dernière fois où j'y étais venue et où (bien malgré moi) j'avais fini dans une partie de jambes en l'air avec mon boss. Je ris à cette pensée, c'est vrai que ce fut assez comique sous un certain angle.

Trappe qui grince...visiteur inattendu...

Mais on peut plus rester tranquille cinq malheureuse minutes???

Tsss...il se demandait toujours pourquoi il venait ici...après tout, il devait y avoir mieux comme panorama à Aeoris. Et pourtant, il aimait bien cette chambre. Il la réservait pour lui tout seul...la plupart du temps du moins. Les prostitués n'étaient pas de ces fréquentations qu'il affectionnait mais certaines journées nécessitaient un peu de détente. Et puis de toute façon, il passerait un de ces jours au temple et tout ça serait effacé.
C'était toujours le même nain bedonnant qui louait les chambres...les filles dans le hall étaient toujours les mêmes. Visiblement, même avec ce coup d'État, leur industrie se portait bien.

Alors qu'il récupérait la clé, le nain lui avait sortit avec un sourire plutôt louche:

-On y a disposé une petite surprise pour vous...on sait que vous avez des goûts de luxe et c'est une très bonne marchandise.

Complété de l'oeillade qui finissait d'achever le peu de confiance qu'il lui restait en ce type et c'était partit pour devoir (encore une fois) s'expliquer à une pauvre fille qui n'avait certainement rien fait pour être là.

Il monta donc, sans se presser, gravi l'escalier et ouvra la trappe dans un léger grincement. Conformément à ses prévisions, une fille était là...et au moins, elle ne semblait pas l'attendre...Il referma donc la trappe, lentement, puis alla s'installer dans un fauteuil en prenant une bouteille de vin non loin sous le regard éberlué de la femme qui ne comprenait visiblement rien. Il la déboucha, s'en servit un verre, en bût, puis le reposa.
Enfin, il planta son regard dans celui de la femme.

-Bon, je me suis fais arnaquer....encore une fois...je viens juste pour me détendre. Faites donc ce que vous faisiez avant.

Il se surprit lui même de son agressivité. Après tout, cette pauvre fille n'avait rien fait...

-Vous voulez du vin? C'est à mes frais.

Certes, ce n'était pas encore ça, mais au moins, ça permettrait de parler un peu, histoire de voir pourquoi elle était là. Peut-être s'était-elle faites piégée aussi. Rétrospectivement, il ne savait pas si il devait rire de ce souvenir ou bien avoir envie de brûler ce bâtiment.

Non apparemment ce n'était pas possible de rester tranquille plus de deux minutes, j'avais pourtant bien spécifié à cet abrutit de nain que je ne voulais pas être dérangée. Cet imbécile allait souffrir dès que je serais sortie de là.

-Bon, je me suis fais arnaquer....encore une fois...je viens juste pour me détendre. Faites donc ce que vous faisiez avant.

Bah à part être nue sous une fourrure je ne faisais rien de spécial. Mais là je dois bien admettre que je ne m'attendais pas à être dérangée. Je gardais donc le silence. D'ailleurs le ton qu'il employa ne me plu pas beaucoup. Le fait de ne plus être une prostituée mais une chef de guilde est qu'on ne me parle plus comme si je n'étais qu'une m#!@e.

-Vous voulez du vin? C'est à mes frais.

Aaaah, il avait touché pas corde sensible, c'est vrai que je ne résiste jamais devant quelque chose d'offert. Ma nature de voleuse peut être.

"Avant d'accepter, j'aimerais savoir à quelle guilde vous appartenez, et quel est votre rang dans celle-ci."

Question trop directe peut être, et posée de façon un peu trop autoritaire. Mais la curiosité a tuée le chat...

"Avant d'accepter, j'aimerais savoir à quelle guilde vous appartenez, et quel est votre rang dans celle-ci."

En entendant la question, son visage se fendit d'un sourire...visiblement, il lui faudrait du temps pour être connu dans sa propre faction...mais l'anonymat était peut-être une bonne arme...
Tandis qu'il buvait une gorgée de plus, il remarqua que son interlocutrice était nue sous ses fourrures. Il ne pouvait pas entrer dans un endroit sans que la femme qui y était soit nue??!
Il se déçut lui même de la stupidité de la question...il entrait dans une maison close, il s'attendait à quoi? Il se recentra sur la discussion et servit un verre le temps de formuler une réponse adéquate.

-Je fais partie de la guilde du dragon rouge...et tout ce que vous avez à savoir, c'est que mon rang dépasse le votre...

Là en fait, il venait de lui donner son rang...parce que pour être sûr d'avoir un rang supérieur à celui de n'importe qui à part le girudomasuta...il n'y avait que frère de sang...
Sa franchise le perdrait un jour...

-Bon, vous venez prendre ce verre...vous en profiterez pour vous présenter à votre tour comme ça.

-Je fais partie de la guilde du dragon rouge...et tout ce que vous avez à savoir, c'est que mon rang dépasse le votre...

A part les frères de sang et les girodumasuta il n'y avait personne au-dessus de moi, mais je n'avais pas souvenir de lui avoir donné mon rang...donc il pouvait être à peu près n'importe qui. Mais si c'était bien un frère de sang il ne pouvait être que celui de Raphaël, les deux autres avaient déjà les leurs.

-Bon, vous venez prendre ce verre...vous en profiterez pour vous présenter à votre tour comme ça.

Je pris le verre.

"Je fais partie de la guilde des voleurs. Si vous faites partie de la guilde du dragon rouge vous devez savoir que notre très cher leader a un nouveau frère de sang, mais apparemment personne ne l'aurait rencontré, j'aimerais beaucoup savoir qui il est. Je sais que l'information n'est pas gratuite, mais je connais la valeur de certaine chose...

En disant cela je fis imperceptiblement glisser un peu ma fourrure, de manière à ce que le mouvement paraisse naturel. Et je regardais mon interlocuteur dans les yeux, qu'il avait très verts, plus que moi d'ailleurs.

"Je fais partie de la guilde des voleurs. Si vous faites partie de la guilde du dragon rouge vous devez savoir que notre très cher leader a un nouveau frère de sang, mais apparemment personne ne l'aurait rencontré, j'aimerais beaucoup savoir qui il est. Je sais que l'information n'est pas gratuite, mais je connais la valeur de certaine chose...

Tandis qu'elle parlait, sa fourrure glissait et dévoilait encore un peu plus de son corps sculptural. De quoi faire tourner la tête. Pendant ce temps, il continuait de regarder la rousse dans les yeux tout en souriant. Des propos énigmatiques, ce qu'il détestait d'habitude, mais dans ce genre de situation, c'était tout bonnement parfait. Il est certain qu'une identité ne se délivre pas comme ça...surtout quand c'est la sienne. Quant à celle de son interlocutrice, il avait entendu parler de la sulfureuse rousse à la tête de la guilde des voleurs, ça ne pouvait être qu'elle...hum...Anthéa si sa mémoire était bonne... Au moins, sa réputation ne mentait pas...d'aucuns disent qu'elle aurait couché avec son girudumasuta, lui par contre, sa réputation n'était plus à faire.

-Comme vous dites, il essaye de se faire discret...c'est un poste qui peut attirer des ennuis.Il se coupa pour boire une gorgée de ce vin, se leva, se dirigea vers la jeune femme puis se mit à tourner autours tel un aigle autours de sa proie, la décortiquait du regard. Il était vrai qu'elle était plus que bien roulée. Une fois qu'il eu fait quelques tours, il s'arrêta en face d'elle, s'assit sur ses pieds et proposa le deuxième verre qu'il avait prit. Cependant, comme vous l'avez aussi dis, certaines informations ont une valeur plus qu'élevée. Mais je pense connaître ce que vous voulez. Posez vos questions, et je poserais mon prix.
A la fin de sa phrase, il sourit, puis rapprocha assez son visage de celui de la rousse pour sentir son souffle.

-Comme vous dites, il essaye de se faire discret...c'est un poste qui peut attirer des ennuis.

Surtout si cela tombait entre de mauvaise mains, mal intentionnées, un peu comme l'étaient les miennes. Je pourrais toujours revendre cette information pour beaucoup d'argent encore fallait-il que je le sache. Je connaissais de nombreuse personnes qui me payeraient cher pour pareil information.
Il se leva et se mit à faire les 100 pas autour de moi. Mes yeux ne le quittaient que lorsqu'il passait dans mon dos, sinon je le regardais afin de trouver quelque chose dans son allure, sa démarche qui puisse me donner un indice sur son identité
Au bout d'un petit moment il s'assit face à moi et me tendit le deuxième verre.

Cependant, comme vous l'avez aussi dis, certaines informations ont une valeur plus qu'élevée. Mais je pense connaître ce que vous voulez. Posez vos questions, et je poserais mon prix.

Alors qu'il disait cela il approcha lentement son visage du mien, si près que nos lèvres se touchaient presque.

"Si comme je le pense vous savez qui je suis, vous devez aussi savoir qu'il est plus facile pour moi de voler que de marchander. Mais pour vous je vais essayer de retenir mes vilains penchants."

Je posais ma main sur la sienne, celle qui tenait la coupe mais sans faire mine de la prendre.

"Pour ce qui est de ma question je pense que vous la connaissez déjà."

Plus que l'usage que je pouvais en faire, savoir le nom du nouveau frère de sang de Raphaël m'intriguait au plus haut point.

"Pour ce qui est de ma question je pense que vous la connaissez déjà."
Il connaissait la question tout comme il connaissait la réponse. Mais en marchant digne de ce nom, il ne pouvait pas lui délivrer l'information comme ça...il lui fallait d'abord son paiement. La guilde des voleurs était en effet connues pour emprunter sans jamais rendre et cela gratuitement. Et dans le fond, elle restait une voleuse, des êtres sournois dans lesquels on ne pouvait avoir confiance. Il profita qu'elle ai posé sa main sur la sienne pour faire passer le second verre entre ses doigts. Du même geste, il en profita pour inverser la place de leurs mains et il se retrouva donc en train de la lui tenir.
-Vous devriez donc déjà savoir que pour une telle information, avant d'attendre la réponse, il faut mettre le prix. Cependant, de l'argent, j'en ai plus qu'il ne m'en faut réellement. Surprenez moi. Offrez moi quelque chose que je n'ai pas et que je regretterais de ne pas avoir.
Il verrait ainsi si la chef de guilde méritait son poste et si elle disposait d'un minimum d'imagination. Le jeu s'annonçait déjà très amusant.

D'un souple mouvement il inversa la position de nos mains, ce qui fait que c'était désormais lui qui tenait la mienne. Habile et astucieux. Pas bon du tout pour moi ça.

-Vous devriez donc déjà savoir que pour une telle information, avant d'attendre la réponse, il faut mettre le prix. Cependant, de l'argent, j'en ai plus qu'il ne m'en faut réellement. Surprenez moi. Offrez moi quelque chose que je n'ai pas et que je regretterais de ne pas avoir.

Il y a tant de chose qu'il pouvait regretter de ne pas avoir, et tant de chose qu'il n'avait pas que je ne savais pas vraiment que choisir. Je savais pertinemment où il voulait en venir. Eh bien dans ce cas j'allais le faire gouter à quelque chose dont il ne pourrait plus jamais se passer, jamais. Il ne restait plus qu'à lui de ne pas me décevoir.
Toujours imperceptiblement ma fourrure descendit de plus en plus bas sans tomber complètement.
Je lui offrit mon sourire le plus espiègle.
Il tenait ma main, mais sans trop d'effort je parvins à le renverser pour pouvoir me positionner à califourchon sur lui.
Sans discussion inutile je penchais mon visage vers le sien et posait mes lèvres sur les siennes.
J'avais de la chance, les deux derniers hommes avec qui j'avais partagé mes nuits étaient aussi séduisant l'un que l'autre.

Des fourrures qui descendaient toujours d'avantages, un sourire, puis soudain, sans comprendre, il s'était retrouvé avec la jeune femme nue, à cheval sur lui en train de l'embrasser. C'était un peu ce qu'il voulait certes mais il ne s'attendait pas à un résultat aussi soudain. Après qu'elle lui eu laissé reprendre son souffle, il réussit à lui susurrer à l'oreille:
-Ma chère, vos prétentions sont bien grandes, j'espère bien que vous ne me décevrez pas auquel cas vous seriez obligée de trouver autre chose.
Puis, en lui lançant un sourire, il la fît basculer pour, encore une fois, inverser les rôles. Visiblement, elle ne comptait pas le décevoir mais bon...si il pouvait en jouer après tout...pourquoi pas?
Tandis qu'il l'embrassait, il effleurait le corps de la chef de guilde, se délectant de la douceur de la peau de sa partenaire.

Il embrassait bien, c'était déjà un bon point pour lui. Son baiser me rappelait celui mémorable de Raphaël. Des deux je ne sait lequel je préfère en vérité. Je fis durer le plaisir jusqu'à ce que je sente qu'il fallait que j'alimente mes poumons en air.
-Ma chère, vos prétentions sont bien grandes, j'espère bien que vous ne me décevrez pas auquel cas vous seriez obligée de trouver autre chose.
Il ne me laissa pas le temps de répliquer que déjà il inversait la situation en me faisait passer sous lui. Je sentit la colère me monter aux joues, non mais oh!
Et puis pourquoi pas? s'il voulait jouer on allait être deux, après tout quel chat n'aime pas jouer un peu avec la souris?
Ce fut son tour de m'embrasser et alors que l'idée me vint de détourner la tête je le laissait néanmoins poser ses lèvres sur les miennes tandis que ses mains passait mon corps en revue.
Au bout de quelques instants je le repoussait, sans dureté mais assez fermement pour qu'il me libère la bouche.
"Sachez que je ne prétend jamais rien que je ne puisse réaliser. De plus personne n'a jamais été déçu de mes services, quelque soit leur nature...j'ai des références. Cependant je serais à votre service si par malheur je ne me montrais pas à la hauteur de ma réputation"
Je laissais le silence flotter quelques secondes.
"Mais j'en doute."
En y regardant de plus près je crois qu'à ce moment précis j'avais terriblement envie de cet homme. La majorité des hommes avec qui je passais mes nuits me laissaient toujours mener la danse mais pour une fois je voulais m'abandonner complètement et je voulais que ça soit dans ses bras.
Pour une nuit seulement.

Étrangement, il n'avait aucun doute quant à la capacité d'Anthéa de le satisfaire mais la voir presque offensée par ces paroles était très amusant. Il resta quelques instants, inerte, à observer la belle allongée sur les fourrures. La lune, renvoyant un éclat argenté sur sa peau, la faisait passer pour un fantôme de son désir, une apparition de son esprit, une illusion de ses fantasmes. Le cadre était vraiment bien, sous la voûte stellaire, la seule à vraiment pouvoir observer leurs ébats. Il reporta son attention sur sa partenaire et vit que celle-ci attendait. Il enleva alors sa chemise, Anthéa étant entièrement nue, il ne pouvait décemment pas rester complètement habillé. Écartant doucement les jambes de la jeune femme, il se glissa jusqu'à coller son torse contre son ventre. Lorsque sa peau glissa contre celle de la cheffe des voleurs, il ne pût réprimer un léger frisson, la douceur de celle-ci était tout simplement délicieuse. Alors qu'il commençait à mordiller ses tétons, il sentit une érection commencer à poindre et colla donc son bassin contre le bas ventre de la jeune femme pour qu'elle la sente au travers de son pantalon.

Après quelques instants il enleva enfin sa chemise. Il était vraiment séduisant en réalité. Petit détail surprenant, des coudes jusqu'aux épaules sa peau était couverte d'écaille. Serait il un hybride? il n'aurait certes pas été mon premier mais bizarrement sa peau me faisait penser à celle d'un dragon. Je souris à cette pensée.

Cela faisait déjà quelques minutes que j'étais nue et il se faisait attendre et cela dû se voir sur mon visage.

Il écarta légèrement mes jambes et entreprit l'exploration de ma poitrine, peu d'hommes ou femmes en avait été déçus. A peine quelques secondes plus tard il m'informa peu subtilement qu'il bandait.

Ah les hommes...

Je me positionnais de manière à ce que mes jambes entourent ses hanches, le forçant ainsi à se coller encore plus contre moi. "Je crois que votre pantalon est de trop dans cette histoire." Sans attendre aucun consentement de sa part j'entrepris de le lui enlever ce que ne me prit pas beaucoup de temps. Je sentais moi aussi une chaleur familière monter entre mes jambes.

Maintenant que nous étions tous les deux à égalité on allait pouvoir passer aux choses sérieuses. Avec mon sourire ingénu favori aux lèvre je fis glisser mes mains jusqu’à son sexe que j'entrepris de caresser à un rythme qui se voulait volontairement très lent.

Son pantalon gisait par terre, il était devenu inutile et même encombrant. Puis elle entreprit de lui caresser le sexe assez lentement. C'était juste délicieux. Il la laissa faire quelques instants pendant qu'il lui titillait les tétons avec la pointe de sa langue. De ses mains, il parcourait le corps sublime de la jeune femme, glissant sur la peau claire, sentant du bout de ses doigts la texture douce de celle ci.
Ses mains arrivèrent sur ses cuisses, les effleurant légèrement, juste de quoi provoquer un léger frisson et se rapprochèrent l'une de l'autre pour se rejoindre dans les hanches de la demoiselle. Puis, il la fît guider son sexe jusqu'à son intimité et prit ses mains pour les mettre autours de son cou. L'effleurant d'abord, il la pénétra doucement et initia un mouvement de vas-et-viens.

Il me laissa continuer mes caresses pendant quelques instants avant de décider de passer aux choses sérieuses. J’exhalais un long et profond soupir lorsqu'il entra en moi, tout en délicatesse. Puis, j'accordais mes mouvements aux siens alors qu'il commençait ses mouvements de bassin. C'était juste délicieux.
Mais je n'avais pas envie de lui laisser la partie du travail que je préférai.
Sans prévenir, je passais ma main derrière sa nuque de manière à le faire basculer pour enfin me retrouver à califourchon sur lui. Ensuite, je me penchais jusqu'à son oreille pour lui chuchoter: "c'est à moi de te convaincre de me révéler ton secret, où est le jeu si tu fais tout le travail?"
Puis j'enfouis ma tête dans son cou, pour la relever quelques secondes plus tard. Je lui pris le mains et les fis glisser sur mes jambes, sur ma taille, mon ventre et enfin mes seins.
Fermant les yeux ce fut mon tour d'initier le mouvement.

Tandis qu'il continuait ses vas-et-viens, la jeune femme décida d'inverser la donne. D'un geste habile et doux, elle le fit rouler sur le coté pour se retrouver à califourchon sur lui.

-C'est à moi de te convaincre de me révéler ton secret, où est le jeu si tu fais tout le travail?

Vu comme ça effectivement...Il la laissa donc guider ses mains sur son corps jusqu'à ses seins. Il profita un petit moment des mouvements qu'elle faisait puis répliqua:

-Et que comptes-tu faire pour que je te révèle une chose d'une telle valeur?

Il appuya cette réponse d'un sourire amusé.