Le traité d'or et d'argent. [Pv Reivax Baëleän]

Alors que le soleil commençait a ce coucher avec peine dans un ciel nuageux, prometteur d’une averse nocturne, les divers marchands, citoyen ainsi que bien d’autre personnes peut recommandable commencèrent a s’abriter là ou un toit pourrait les protéger des larmes du ciel.

C’est en ce frayant un chemin à travers les différent badauds qu’un étrange groupe ce dirigeais vers  la taverne du dragon rouge. Nous retrouvons donc Lakhsry van Heaven à la tête d’un petit groupe de renégat, ancien chevalier destitué, soldat licencié et autre paladin méconnu, tous suivant le mage-mort.

Le groupe avait la particularité d’être sous une robe à capuche bien étrange, d’un noir profonds, cette tenue portait pourtant l’armoirie de la Noble alliance sur l’épaule droite, signe reconnaissable par tous.

Au fût et à mesure que les gens ce dégageais pour laisser passer l’étrange groupe, le Liche jetait un petit coup d’œil sur les côté de leur route, apercevant des personne de moins en moins recommandable et visiblement, s’enfonçant dans les tréfonds de la cité.

Leur but était très simple, rencontrer celui qui ce fait nommé ‘’Roi des affaires’’ dans les secteur peu recommandables de la vaste ville, une audience envers lui avait été demandé mais il n’avait eut aucune réponse si ce n’est un redoublement de surveillance de la guilde des voleur a travers les rues. Lakhsry n’était pas dupe, il avait vu les gens le regarder, murmurer à d’autre et voire ces derniers s’en aller à toute vitesse dans l’ombre, ils étaient surveillé.

Même si son groupe était relativement expérimenté dans le domaine du combat, une attaque éclaire, un soudain mouvement de foule et des coups dans le dos auront très vite terminer de leur petit excursion.

Le groupe finira par s’arrêté devant les portes de la tavernes du dragon rouges, visiblement entrain de fermé. Ils patientèrent quelque instant avant de voir le patron sortir et les toiser d’un regards interrogateur avant de ce décider a parler.


La Liche s’avancera avant de défaire sa capuche,son habituel masque de bal cachant une partie de son visage, l’aubergiste détaillera le garçon-mort avant d’écarquiller les yeux en voyant l’insigne de la Noble alliance.


Ne comprenant pas le lien entre le service sanitaire et le faire d’avoir commis un crime, il décidera de lever une main pour lui demander de cesser ces jérémiades, l’homme s’exécuta en une fraction de secondes et continua à toiser le mage, ces mains crisper sur le panneau de fermeture qu’il n’allait pas tarder à accrocher.


Alors que le Liche venait de poser la question, un grognement relativement agressif venait d’une des personne l’accompagnant, un grognement bestial et visiblement irrité.

"Roi des affaires"... Il se demandait bien qui avait pu lancer ce surnom. Reivax trouvait que "Seigneur-marchand" lui allait bien mieux. D'ailleurs, pratiquement personne ne l'appelait plus Girudomasuta de peur de se prendre un regard réprobateur. Il préférait passer pour un chef d'une sorte de mafia locale que confirmer les soupçons de certaines personnes vénales à son propos.

Dernièrement, il avait envoyé quelques voleurs espionner un certain Lakhsry Van Heaven. Cet énergumène tentait par tout les moyens de le rencontrer et quelqu'un d'aussi obstiné ne pouvait être qu'une chose parmi les deux suivantes: Un sacré problème ou un allié indéfectible. Malheureusement pour le voyageur du temps, il se trouvait dans la faction problématique: La Noble Alliance.

Rien que ça suffisait pour alimenter des doutes au sujet de ses intentions. Plus le temps passait et plus il s'enfonçait loin pour avoir des renseignements. Jusqu'à ce jour encore, il n'avait pas osé allé jusqu'au quartier général... Mais aujourd'hui était un jour de transition. Il venait...et escorté en plus. Chaque minute, un gamin, un vieillard, une prostitué, un vendeur du coin ou même un simple habitant venait lui faire état de la progression du mort-vivant.

A son bureau lorsqu'il avait reçu le premier rapport, il avait tout de suite bondi vers la cache secrète de la taverne. Cette foutue ville le tuerait. Si il avait enfin pu reprendre ses quartiers après des mois et des mois d'enquête, il lui fallait maintenant se planquer dès qu'un ennemi venait prendre une pinte. Habituellement, il préférait se cloîtrer dans le bateau mais cette fois, il avait voulu tenter le destin. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le destin se foutait bien de lui...

Heureusement, depuis le début du conflit, il formait peu à peu des corps armés pour sa faction. Le plus aboutis et celui dont il était le plus fier était celui des "Fléchettes noires". Sous cette appellation peu effrayante se trouvait en fait des hommes et des femmes experts du camouflages. Ils s'étaient spécialisés dans le maniement de la sarbacane et menaient des attaques surprises assez régulièrement. Selon les besoins, leurs armes pouvaient être létales ou non. Pour cette fois, il ordonna des fléchettes mortelles.

Les accompagnant, il les plaça sur les toits qui enclavaient l'entrée de la taverne, tous cachés par les sommets des toitures. L'hybride comme ses agents étaient recouverts d'un immense manteau noir qui recouvrait le corps entier et ne laissait paraître que les yeux. Il était debout derrière une cheminée lorsqu'il entendit la conversation entre le mort-vivant et le tavernier. Il se débrouillait assez mal et était plutôt gêné.

Lorsque finalement le seigneur-marchand entendit un grognement, il se contenta de dire:

-Qui demande le chef des marchands et des indigents oubliés de cette ville?

Le silence était tel que sa voix se répercutait de partout, rendant impossible de localiser avec exactitude son origine.

Le tavernier semblait désemparé par la présence de la force dominante de la ville, la noble alliance ne suscitait elle donc plus que terreur, peur et corruption ? Cela attrista déjà le moral grandement atteint du non-mort, de son vivant, les échos d’une faction puissante et juste, l’avait toujours bercé dans son enfance, c’est d’ailleurs ces souvenir centenaire qui le poussa à rentrer dans les rangs de l’alliance des nobles.

Abandonner n’était pas dans son caractère, il poursuivra l’espoir de redonner ces lettres d’ors à cette faction jadis brillant par sa générosité et sa droiture, ces paladins à l’armure éclatant, ces pourfendeurs de démon et protecteur du peuple.

Il se surprendra à contempler le ciel en ressassant ces pensée avant qu’une silhouette plus fine posa une élégante main sur l’épaule de ce dernier, elle se trouvait très proche de la haute silhouette grognante.

Cette attention de la part de sa collègue lui permis d’entendre les paroles d’un homme provenant de l’auberge, ce ressaisissant, il portera alors sa mains au masque de bals qu’il ne quittait désormais plus, cachant ainsi les débuts d’une putréfaction caché par les parfums et les illusions odorantes.


Il tendra la main derrière lui et une autre silhouette que l’on pourrait considérer comme une silhouette ‘’standards’’ tendra un parchemin à la liche, celui-ci le dépliera verticalement face à lui et parlera comme un juge présentant les faits.


Il finira par fermer le parchemin avant de le tendre à son ancien possesseur.

Le réseau d’information de Lakhsry était assez performant, son rang dans la noblesse ainsi que sa position de membre de la noble alliance lui donnait accès aux informations officiel de ces derniers. Les voyageurs avaient sans-doutes un excellent système d’information vis-à-vis des marchands et autre roublards pullulent dans cette ville.

En gros, Lakhsry avait la qualité, Reivax avait la quantité.


Le mage-mort avait également contribué à se retards, donnant de fausse information aux chasseurs de primes concernant le roi des voleurs.

Il croisera les bras en toisant le tavernier qui semblaient complétement perdus dans toutes ces histoires de jeux de pouvoirs.

Le masque de Lakhsry: