Le parfum du Papillon (pv Lady Butterfly) - TERMINE

Raphaël ouvrit la porte de la chambre, dévoilant un intérieur décoré dans la plus pure tradition des peuples du désert de l'Est. Tout un pan de mur était recouvert d'une impressionnante mosaïque, quelques plantes vertes décoratives étendaient leurs longues feuilles au dessus d'une table de massage, et au milieu de la pièce s'élevait une fontaine d'intérieur, entourée d'un bassin peu profond. Le lit était recouvert de tissus clairs aux motifs géométriques et de coussins moelleux, et dans l'air flottait un parfum d'encens qui engourdissait les sens.

Ils avaient décidé d'un commun accord de se rendre à la maison close après le bal au lieu de marcher jusqu'à la demeure de Raphaël qui, bien que proche, leur semblait beaucoup trop lointaine. C'était la jeune femme qui avait choisit cette chambre, et l'envoûteur la trouvait tout à fait à son goût.

Il s'effaça pour laisser entrer Lady B., et referma la porte derrière eux.

Il me laissa entrer et j'inclinais légèrement la tête pour le remercier. J'aimais vraiment cette chambre,l'odeur de l'encens étaient des plus agréable et la fumée créait de magnifiques motifs aériens. Le clapotis de la fontaine étaient suffisamment discret pour ne pas devenir agaçant.
Je vis un paravent, rapidement je me glissais derrière et commençais à délasser mon corset que me faisait atrocement souffrir.Mais ça en vaut la peine car il faut souffrir pour être belle.Dès que j'eus fini d'enlever a robe je la passais sur le paravent en jetant un regard à mon compagnon,il me tournais le dos et semblait absorber par je ne sais quoi. Je pris une légère tunique transparente qui étaient posée à disposition. Je me tournais vers le miroir...ma silhouette étaient rendue encore plus fine dans cette tenue qui ne cachait pas grand chose. Satisfaite je me rapprochais de Raphaël en souriant et dit.

"Alors qu'en pensez vous?"

Et je tournais sur moi même pour lui faire admirer chaque partie de mon corps.

Une fois dans la chambre, la demoiselle des papillons se glissa derrière un paravent pour se dévêtir. Raphaël en profita pour observer la collection de produits disposés sur une petite table en acajou, contre le mur. Il y avait là diverses huiles de massage et baumes aphrodisiaques, lubrifiants, parfums, et même de la peinture pour le corps. Il eut un sourire amusé : le personnel du Labyrinthe pensait vraiment à tout.

La jeune femme avait finit de se changer. L'envoûteur la sentit s'avancer vers lui, et se retourna.

"Alors qu'en pensez-vous ?"

Elle fit un tour sur elle-même, faisant virevolter autour de ses hanches la tunique qu'elle portait. Le tissu était si fin qu'on pouvait voir les formes de son corps au travers, et il ne se priva pas d'admirer le spectacle, avant de tendre la main vers elle et de l'attirer à lui.

"Je ne pense à rien...Je crains qu'il ne me soit impossible de réfléchir clairement après vous avoir vue dans cette tenue."

De sa main droite, il repoussa une mèche de cheveux qui tombait sur la nuque de la femme papillon, puis passa avec une lenteur calculée ses doigts le long de son cou, puis de sa clavicule. Il caressa ensuite son sein au travers du voile de la tunique, et continua de descendre jusqu'à s'arrêter sur ses hanches. Son autre main quant à elle se posa sur sa joue, et il souleva son menton pour pouvoir l'embrasser.

"Je ne pense à rien...Je crains qu'il ne me soit impossible de réfléchir clairement après vous avoir vue dans cette tenue."

Je ne répondit pas tout de suite, il caressa mon cou et fit lentement descendre sa main, lorsqu'elle s'arrêta sur ma poitrine je ne pu réprimer un frisson qui me parcouru des pieds à la tête.Sa main marqua une pose sur ma hanche. Pendant ce temps son autre main avait saisis mon menton et l'attirait vers lui. Je ne résistais pas lorsque ces lèvres s'emparèrent des miennes avec tendresse mais je sentais son désir derrière son baiser. Pour faire un peu durer les choses je rompais notre étreinte et m'éloignais un peu.

"Flatteur va."

Je me tournais vers les huiles et parfums sur les étagères,j'en saisis un qui sentais délicatement le jasmin et me dirigeais en suite vers le bassin. D'un mouvement d'épaule je fis glisser la tunique qui tomba sans bruit sur le sol. De toute façon avec ou sans, la différence était mince. Je posais le flacon sur le rebord du bassin et me plongeais avec délice dans l'eau chaude.

"Flatteur va."

Il faillit la retenir quand elle se dégagea de son étreinte, mais se ravisa. Elle choisit un flacon sur l'une des étagère, et rejoignit le bassin où elle se débarrassa de l'infime couche de tissu qui lui restait. Un sourire se dessina sur le visage du Girudomasutâ alors que son regard se posait sur la peau nue de la jeune femme. Elle entra dans l'eau.

"Vous trouvez ? Je ne fais pourtant qu'une constatation..."

Il s'approcha à son tour du bassin, et commença à déboutonner sa chemise, laissant entrevoir son torse, mais il ne la retira pas. Il préférait garder ses vêtements jusqu'au dernier moment.
Il s'allongea à demi sur quelques coussins disposés au bord de l'eau, et se mit à observer Lady Butterfly qui semblait se délecter de la température du bain.

"Etre aussi séduisante devrait être interdit..."

Il éprouvait une irrésistible envie de toucher ce corps sculptural à demi dissimulé par l'eau, mais se contenta de faire glisser le dos de sa main contre la surface du bassin.

"Vous trouvez ? Je ne fais pourtant qu'une constatation..."

Je rougis de plaisir,il était vraiment doué dans l'art de la séduction ce qui me convenait totalement. Il ouvrit sa chemise et s'allongea près du bassin. Son corps était vraiment magnifique,finement musclé et ses abdos auraient fait mourir d'envie n'importe quel homme, et pour ce soir il était à moi.

"Etre aussi séduisante devrait être interdit..."

Il toucha l'eau,qui forma alors de très légères vagues.

"C'est dans mon habitudes de transgresser les interdits."

Je me rapprochais du bassin et pris le flacon de parfum et m'en mit sur le haut du corps puis me tournais vers lui. Lentement je fis glisser sa chemise et me mit à caresser son torse si magnifique et levais la tête vers lui en souriant.

"D'ailleurs je peux vous retournez le compliment."

"D'ailleurs je peux vous retourner le compliment."

Il rit silencieusement et laissa la chef de guilde jouer sur son torse un moment. Ses doigts de velours caressaient ses pectoraux, comme s'il était une oeuvre d'art, une statue de marbre brûlante.

"Ravi d'être à votre goût, ma chère."

La tentation de toucher la jeune femme se faisait de plus en plus forte, aussi il décida de céder à ses envies. Il se redressa sans prévenir, passa son bras dans son dos, entourant sa taille pour se plaquer contre elle ; et avec des mouvements très lents, il finit par rentrer tout habillé dans le bassin.
L'eau était chaude, presque brûlante. Il se demanda un instant si cette température n'était pas due au désir qu'il ressentait pour sa partenaire, mais ne put trouver la réponse.

"Ravi d'être à votre goût, ma chère."

Sans prévenir il se colla contre moi et entra dans l'eau,je ris à cette démarche tout en regardant avec envie son torse rendu encore plus appétissant avec l'eau et le fait que sa chemise trempée collait de façon érotique à son corps.

"C'est tout à votre honneur,je suis très difficile."

Je passais ma main derrière sa tête et enfoui ma tête dans son cou,passant légèrement la pointe de ma langue dessus. Montant un peu plus haut je me mis à mordiller gentiment son lobe d'oreille tandis qu'il me serrait contre lui.
La dureté de mes sein m'avertit que mon excitation était montée en flèche.

L'envoûteur sentit avec délectation Lady Butterfly passer sa bouche sur son cou, et sa langue titiller son épiderme. Quand elle s'attaqua à son oreille, il soupira d'aise.
Ses mains se mirent à bouger instinctivement, traçant des sillons sur la peau constellée de gouttes d'eau de la femme papillon. Parcourir toute la surface de son corps, longer sa colonne vertébrale jusqu'au creux de ses reins et encore plus loin, flatter ses seins parfaits, voilà tout ce à quoi il pensait.

Baissant la tête, il passa ses lèvres dans ses cheveux, sur sa mâchoire, descendit jusqu'à sa bouche qu'il embrassa furtivement, puis continua son chemin sur son menton, son cou et finit par arriver au niveau de sa poitrine.
Raphaël avait toujours eu, comme la plupart des hommes, un faible pour les attributs féminins. Il posa délicatement sa bouche sur la peau lisse et tiède, et se mit à jouer avec les seins de la jeune femme, embrassant et mordillant tour à tour ces fruits de perfection.

J'entendis son soupir et relevais la tête. Ses lèvres parcoururent mon visage et s'arrêtèrent sur mes lèvre,je sentais toujours ses mains dans mon dos et je n'en frissonnais que plus. Sa bouche reprit sa descente et s'arrêta sur mes seins qu'il se mit à embrasser délicatement. Ma main toujours derrière sa tête, j'appuyai légèrement pour lui dire de ne pas arrêter.

Je fis descendre mon autre main,parcourant son torse,dessinant chaque forme,chaque muscle arriver au bas de son ventre ma main marqua un arrêt comme si j'attendais son autorisation. Me demandant alors pourquoi je devais attendre son consentement je repris ma descente. Défaisant son pantalon, je le fis glisser puis collais mon corps aussi nu que le sien encore plus fort contre lui. Ma main toucha tendrement son érection.

Raphaël se mordit les lèvres lorsqu'il sentit les doigts de Lady B. infiltrer son pantalon pour se poser sur son entrejambe. Elle se serrait si fort contre lui qu'il se demanda si leurs peaux n'allaient pas finir par fusionner. Il continua d'embrasser le buste de la jeune femme pendant quelques instants encore, puis s'arrêta. Son désir pour elle se faisait de plus en plus intense, et le bassin lui semblait bien trop inconfortable pour continuer. Il leva les yeux vers elle, et esquissa un léger sourire.

"Il me semble que le lit a l'air particulièrement moelleux...Que diriez-vous de l'essayer ensemble ?"

Et, sans attendre la réponse à sa question, et se remit sur pieds, ruisselant d'eau, en soulevant sa partenaire sans efforts.

Il continua d'embrasser ma poitrine pendant que mes doigts continuaient leur œuvre.

"Il me semble que le lit a l'air particulièrement moelleux...Que diriez-vous de l'essayer ensemble ?"

Il n'attendit pas ma réponse, il me souleva et tout deux ruisselant d'eau il m'emmena vers le lit qui comme il l'avait dit semblait très confortable. Il me déposa avec attention dessus et je m'enfonçais de suite dans les coussins. Je me dis que le personnel du Labyrinthe allait nous haïr d'avoir tremper ses magnifique coussins mais c'était la dernière de mes préoccupation pour l'instant. N'en pouvant plus je me redressais pour lui faire face et l'embrassais avec toute la passion dont j'étais capable.

Il rendit son baiser à Lady B., mordillant sa lèvre inférieure et taquinant sa langue de la sienne, sans cesser de caresser la peau qui s'offrait à lui en même temps, partout où il le pouvait. Il ne tarda pas à la faire basculer en arrière, parmi les coussins et les tissus soyeux, et se positionna au-dessus d'elle sans pour autant interrompre leur baiser, qui faisait d'autant plus monter le désir entre elle et lui.
Ses mains se firent de plus en plus aventureuses, et descendirent de sa poitrine sur son ventre, jusqu'à ses cuisses, qu'il s'amusa à effleurer en de lents mouvements circulaires. Il frôlait sa peau frissonnante, d'abord à l'extérieur, puis dirigea ses caresses vers l'intérieur de ses jambes.

Il me fit basculer en arrière et se positionna au dessus de moi,notre baiser était de plus en plus intense et quelque chose en moi se contractait violemment. Il caressa mon corps jusqu'à arriver jusqu'à mes cuisses. Je gémis quand ses doigts rencontrèrent le centre de mon plaisir. Je faillis dire qu'il n'avait pas à se donner cette peine et que j'étais toute à lui mais me ravissais tellement c'était agréable, c'était le genre d'homme qui avait vraiment à cœur de rendre une femme heureuse. J'étais dans une totale incapacité de mouvement. Mon corps se cambrait alors que le plaisir se répandait lentement en moi.

Le Girudomasutâ se délectait de l'expression extasiée de la demoiselle des papillons, qui frissonnait de plaisir sous ses mains, et se cambrait au milieu des draps. Il aimait que ses partenaires s'abandonnent totalement à lui, cela lui procurait un sentiment étrange, à la limite de la fascination. Il continua ainsi jusqu'à ce qu'il la sente au bord de la jouissance, puis ralentit ses caresses et s'arrêta.
Son propre désir se faisait pressant, et il commença à frotter son érection contre le bas-ventre de la jeune femme, tout en plongeant fiévreusement son visage dans son cou. Respirer le parfum qui imprégnait sa peau, encore humide après leur passage dans le bassin, était un véritable délice pour les sens...

Ses caresses avaient déclenché une sorte d'incendie entre mes jambes,incendie qui se répandait dans tout mon corps, je levais les yeux vers lui et son visage était vraiment magnifique, je ne pensais pas aimer autant un homme avec qui je n'allais sans doute passer qu'une seule nuit...mais quelle nuit.
J'étais au bord de l'orgasme quand il s'arrêta, je sentait son érection contre mes jambes et sans avertissement je le guidais en moi. Le contact me coupa la respiration et je l'embrassais encore et encore car ces lèvres étaient tout ce que mon esprit désirait.

La jeune femme accompagna ses hanches tandis qu'il la pénétrait. Elle haleta lorsqu'elle le sentit en elle, et prit possession de ses lèvres alors qu'il entamait ses va-et-viens. Il commença doucement, se calant sur le rythme de leurs baisers pour savourer les vagues de plaisir qui se propageaient dans tout son corps. Puis, après quelques instants, il plaça les bras de la femme papillon autour de son cou, plongea son regard dans le sien et accéléra. Les mouvements se firent plus prononcés, plus intenses. Il voulait se fondre en elle, toujours plus profondément.
Leur respirations devinrent erratiques, et la sueur perlait sur leur peaux.

Il fut tendre au début,m'embrassant au même rythme que ses mouvements.Puis il rompit notre baiser et plaça mes bras derrière son cou en accélérant ses va-et-viens. J'haletais au fur et et à mesure que le plaisir montait en moi,instinctivement mes ongles griffèrent légèrement sa peau alors que l'orgasme se rapprochait inexorablement.Je respirais de plus en plus vite et continuais de noyer mes yeux dans les siens.

L'envoûteur laissa échapper un gémissement rauque lorsqu'il sentit les ongles de Lady B s'enfoncer dans son dos. Cette douleur légère se propagea le long des cicatrices qui couvraient sa colonne vertébrale, accentuant encore l'extase que leur étreinte lui procurait. La jeune femme quant à elle semblait à la limite de l'orgasme, et frémissait de tout son corps en-dessous de lui, comme sous l'emprise d'une transe enivrante.
Il modulait à présent les mouvements de son bassin et changeait de rythme, alternant entre lenteur et rapidité sans prévenir, faisant tout pour faire durer ces sensations délicieuses.

J'entendis son grognement quand mes ongles s'enfoncèrent dans sa chair mais cela ne m'empêcha pas de continuer. Pour faire durer le plaisir il changea ses mouvements me laissant ainsi très proche de l'orgasme sans l'atteindre entièrement.
Mais finalement le plaisir se déversa en moi tel un vague incontrôlable, laissant un frisson à nul autre pareil se répandre dans tous mes membres. Je gémis, mais mon gémissement ressemblait plus à un cris qu'à autre chose. Malgré cela il ne s'arrêta pas.

La demoiselle papillon poussa un cri en atteignant l'orgasme, et pendant une seconde, il la sentit resserrer son emprise autour de son sexe dans un sursaut de plaisir. L'envoûteur ne quittait pas des yeux la jeune femme, et il ne put s'empêcher de l'envelopper de son pouvoir, pour faire durer sa béatitude un peu plus longtemps.
Puis il ralentit les mouvements de son bassin sans pour autant s'arrêter, et sourit avant de lui chuchoter à l'oreille :

"Le visage que vous venez de me montrer était l'essence même de l'indécence... Je donnerai tout pour revoir cette expression encore et encore..."

Et sur ces mots, il se mit à mordiller le lobe de son oreille, en se collant encore plus étroitement à elle, comme pour lui demander l'autorisation de continuer.

Je sentit son pouvoir sur moi et en appréciait les effets et l'intention, rares étaient les hommes qui se souciaient d'autre chose que de leur propre plaisir et je le remerciais d'un sourire.Il se pencha vers moi et chuchota:

"Le visage que vous venez de me montrer était l'essence même de l'indécence... Je donnerai tout pour revoir cette expression encore et encore..."

Il mordilla mon oreille et attendant mon accord.

"Je crois que je n'ai pas la force de vous refuser quoi que se soit."

"Je crois que je n'ai pas la force de vous refuser quoi que ce soit.

- Vous m'en voyez ravi."

Pris d'une idée soudaine, l'envoûteur passa ses bras derrière le dos de Lady B. et roula sur le côté, faisant en sorte que la jeune femme se retrouve au-dessus de lui. Il fit ensuite glisser ses mains sur ses hanches afin d'accompagner ses mouvements de vas-et-viens, et se laissa doucement envahir par des sensations de plus en plus parfaites.
Le corps nu et en sueur de la demoiselle offrait un spectacle des plus excitants. Raphaël ne pouvait détacher ses yeux des formes alléchantes qui ondulaient au-dessus de lui ; et tout en se délectant de cette image, il sentait la jouissance se rapprocher.

- Vous m'en voyez ravi."

Je ris quand il dit cela et continuait quand il roula sur le côté pour faire en sorte que je sois au dessus de lui. J'ondulais mon corps sous ses mains et ses yeux ne quittaient pas mes formes du regard. Dans son regard je lus que son plaisir était mes proche et je variais mes mouvements pour lui rendre les faveurs qu'il m'avait accordé lors de mon orgasme, quand on me faisait un présent que j'appréciais j'aime être généreuse.
Mes mains parcoururent son torse jusqu'à remonter derrière sa nuque et je l'attirais vers moi pour coller mes lèvres contre les siennes sans pour autant arrêter mes va-et-viens.

Elle le fit se redresser et ils s'embrassèrent longuement tout en ajustant les mouvements de leur corps afin d'amplifier les sensations. Quand il sentit le plaisir se faire intense au point qu'il ne puisse plus se retenir, il décida d'interrompre leur baiser, haletant, et enfouit son visage dans le cou de la jeune femme. Des frissons prononcés parcoururent son dos et il finit par éjaculer en elle, retenant avec peine un gémissement de plaisir.
Voilà longtemps qu'il n'avait pas ressentit un tel sentiment de bien-être...il laissa échapper un rire silencieux en retrouvant son souffle, et embrassa le cou de la jeune femme, à la base de la mâchoire.