Orodreth Súrion Apprenti
Messages : 16 Date d'inscription : 12/02/2013 Age : 28
Livre des Héros Divinité: Salvis Guilde: Guilde des Spectres Résumé:
| Sujet: Orodreth Sùrion Jeu 9 Mai - 13:53 | |
| Présentation Nom : Sùrion Prénom : Orodreth Âge : 286 lunes Race : Elfe Noir Faction : Marcheurs D'ombres Guilde : Guildes des Spectres Raisons du choix de faction : - Quoi de plus plaisant que de tuer et de violer sa proie, dans cet ordre-là bien entendu... - Ah j'aime le Printemps, la nature s'éveille, les oiseaux chantent, on crame des Nains. - Seul un fou est à même de comprendre un autre fou. Métier : Assassin. Divinité vénérée : Salvis
Description Taille : 1m85 Poids : 85kg
Description Physique : Grand mais peu imposant, il n’est guère effrayant au premier abord, cependant son regard vide de toutes émotion suffit à vous glacer le sang. Il ne dissimule jamais son visage car celui-ci possédant des traits parfait, il lui ai aisé de séduire sa proie pour l’amener où il souhaite commettre son forfait. Il a les cheveux longs d’un blanc luisant propre à ceux de sa race. Il est vêtu d’une armure de plates, dont le sang en a souiller le métal, ainsi que d’une cape qui lui permet de se dissimuler dans l’obscurité.
Signes particuliers : Possède une cicatrice, auto-infligé, dans le dos pour chaque assassinat réussi.
Description Psychologique : Si Orodreth possède un seul réel trait de caractère appréciable, c'est bien sa capacité à garder son sang-froid. En toutes situations, il reste implacable. Il affiche toujours ce petit sourire satisfait aussi bien lors des séances de tortures auxquelles il ne rechigne jamais à participer, que lorsqu'il regarde mourir un de ses camarades, agonisant, le suppliant de le sauver, ou tout du moins de l'achever. Dans ce dernier cas, sa lame ne sors jamais de son fourreau, il s'agenouille auprès d'eux, et semble alors exalté, il est vrai que dans ces moment, Orodreth perd son calme, mais ceux qui l'ont vu ainsi ne sont plus en état de le révéler... Orodreth ne fait pas de distinction entre amis ou ennemis, il ne différencie le monde qu'en deux espèces; celle qu'il peut trancher, et celle qu'il ne peut pas (non pas par crainte mais parce qu'il les juge aptes à lui offrir de nouveau bain de sang. Il est évident que ces derniers ne le sont que temporairement, et qu'ils finiront tôt ou tard dans la première catégorie.) Il ne cherche en aucune façon à s'intégrer socialement, la solitude aiguise son esprit, affute ces talents, il ne daigne accepter de partir en mission (sa seule rémunération étant le sang) avec des compagnons d'armes que parce qu'il trouve exquis de les voir malencontreusement décéder. Il n'est d'ailleurs pas si rare que cela de le voir revenir seul d'une quête qui pourtant ne paraissait pas être de grand risque, le manque de difficulté en ce qui concerne l'élimination de la cible l’aura surement laissé sur sa faim... Équipement : Il a pris l'habitude de se battre munis de deux épées courtes en acier, il préfère cependant utiliser un poignard elfique dont la lame trempe constamment dans un fourreau empoisonné, il ne le sort que dans de rare occasion, lors de l'élimination de cible importantes. Il possède également, attacher à sa ceinture, une arbalète de petite taille ainsi qu'une sacoche lui permettant de stocker quelques carreaux ainsi que divers poisons paralysant et un flacon emplit de sang.
Histoire : Alors que l’air frais d’une soirée d’Hiver touchait pour la première son visage de nouveau-né, le sang coula, comme pour marquer sa destinée, une funeste destinée dont le chemin était jonché de cadavres. En ce fait, la mort se révéla plutôt ironique, en effet, sa première victime, la seule non souhaitée, tout du moins de par l’innocence de l’enfance, fut sa mère. De sombre présage touche ceux dont la mère meurt pour enfanter, dit-on, mais bien que les mauvais présages soient synonymes de mort pour le peuple, pour les assassins, c’est au contraire l’un des meilleurs signes qui soit. Aussi lorsque l’enfant naquit, inspira son premier souffle et sa mère le dernier. Le père le recueillit, ne laissant trahir aucune tristesse, aucune colère, aucune émotion, ne pouvant, par égard pour sa femme, pas répudier l’enfant. Et c’est avec l’amertume la plus profonde qui soit, que regardant l’enfant dans ses yeux d’un bleu profond et pourtant translucide, lui donna un nom Orodreth Sùrion, et lui prédit bien des souffrances. Ainsi les jours passèrent, puis les années, et dès qu’il fut en âge d’en tenir on lui enseigna le maniement des armes, d’abord l’épée, bien qu’à l’époque ce ne fut qu’un vulgaire coutelas taillée dans le bois, et peu après l’arc. Quand il fut un homme fait, treize ans environ, lui et tous les autres de son âge furent réunis. Le chef de clan s’adressa à eux, et chacun fut intégré dans un groupe composé de deux d’entre eux et d’un maitre assassin. Le véritable entrainement commençait dès lors. Chaque groupe partit alors dans une direction différente de celle des autres, ils conservaient cependant l’espoir de se retrouver dans cinq ans, en effet cette formation durerait cinq ans sous condition d’y survivre, après quoi tous se retrouveraient là ou tout commença, au village pour l’ultime épreuve. Néanmoins cette perspective ne semblait pas les réconforter pour autant, la peine se ressentait sur le visage de chaque disciple hormis celui d’Orodreth, soulignant l’extrême placidité qui le caractériserait plus tard. Leur première destination fut une forêt verdoyante à la flore abondante, là, Orodreth et son compagnon apprirent les facultés des plantes, ils apprirent que celle-ci pouvaient sauver comme prendre une vie, mais cela n’intéressait nullement Orodreth, en effet il ne voyait pas l’intérêt de sauver une vie, et encore moins celui de la prendre d’une manière si faible et non sanglante. Il trouva néanmoins satisfaction en la découverte des poisons paralysant, ceux-ci n’octroyant pas la mort lui permettait de satisfaire son envie bestiale de sang. Après trois jours d’inanition forcée, ils furent envoyés par leur maître dans une ville avoisinante afin de se sustenter. Pour ce faire ils durent apprendre l’art du vol et de la dissimulation, cet apprentissage fut long et laborieux heureusement pour eux la nourriture était servie en prison. Ils parvinrent finalement à maîtriser parfaitement cet art. C’est ainsi qu’ils en vinrent à l’étape la plus intéressante de leur initiation, l’apprentissage du meurtre. Il se révéla qu’Orodreth excellait en la matière, bien plus que la normale chez les elfes noirs. Son premier meurtre intentionnel fut dirigé contre une pauvre femme. Il surprit la catin au détour d’une sombre ruelle, la saisit, lui perça le ventre de sa dague, y plongea les mains et arracha la tête de l’enfant à naître, puis l’extirpa et le montra à la femme agonisante qui ne put même le maudire car elle se heurtait à l’incompréhension de son geste. Ayant assisté à la scène, son instructeur se surpris à ressentir du dégout face à ce geste et de la peur vis-à-vis de son élève, chose rare pour un elfe noir. Ainsi le temps fut arrivé du retour, et c’est en assassin aguerri que les deux compagnons retournèrent au lieu où tout commença, mais ce n’est pas en ami qu’ils retrouvèrent ceux qui leurs furent jadis chère, car l’ultime épreuve se dressait devant eux, seul un des groupe formés cinq ans auparavant auraient la possibilité de passer maître et pour ce faire ils devaient éliminer les autres. C’est de nuit qu’Orodreth et son frère d’arme arrivèrent et déjà pouvait se voir le résultat sanglant d’un affrontement antérieur. Ils se dissimulèrent dans un fourré et observèrent la place ou tout aller se jouer. Rien pendant plus d’une heure, puis Orodreth repéra en haut d’un arbre l’éclat d’une armure que le soleil levant faisait miroiter. Preste comme le félin, lui et son acolyte bondirent vers l’ennemi dissimulé, qui démasqué bondit à son tour, puis comme attiré par l’exaltation du combat les groupes restant se joignirent à la lice. Ce fut bref, la vigueur et la dextérité d’Orodreth lui permirent bien vite de dominer ces opposants et la précision chirurgicale avec laquelle il manipulait ces armes réduire ces adversaires à de simples cibles d’entrainement. Quand tout fut terminé, une douzaine de corps gisaient autour d’Orodreth et de son acolyte, celui-ci avait écopé de multiples blessures, mais Orodreth quand à lui ne portait sur lui que le sang de ces ennemis, ruisselant sur son visage, une goutte humecta ces lèvres. Les précepteurs arrivèrent constatant que la mêlée avait désigné ces vainqueurs, lorsque qu’Orodreth lécha le sang posait sur ces lèvres. La première chose qu’il vit fut son coéquipier gisant à terre un poignard dans l’oeil, puis les membres épars de ceux qui furent les maîtres. Un sourire effleura ces lèvres, le premier qu’il n’eut jamais, et comme apparu de l’ombre un nain en armure se présenta à lui. Personne ne sut jamais ce que les deux combattants ce dire toujours est-il que depuis ce jour, Orodreth tue pour le plaisir et que le Nain récolte l’or de ces meurtres pour le bonheur de chacun.
Et toi ? Âge : 16ans Disponibilités sur le forum : Toujours dispo (du moins je l’espère) Avis sur le forum : le forum est complet et le background intéressant. Tu connais le forum grâce à : Eowen et Breath Remarques diverses : / Origine de l'avatar : Aucune idée. Confirmation de lecture du règlement : Je certifie avoir lu le règlement et me plierais à son autorité
Dernière édition par Orodreth Súrion le Jeu 9 Mai - 17:53, édité 1 fois | |
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Eowen Sauloon ~ Maîtresse des Marcheurs || Fondatrice ~
Messages : 1176 Date d'inscription : 18/12/2010
Livre des Héros Divinité: Tharod Guilde: Guilde des Assassins Résumé:
| Sujet: Re: Orodreth Sùrion Jeu 9 Mai - 14:09 | |
| et bah tu vois quand tu veux^^j'ai bien fait de te harceler finalement. Validé! | |
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