Lliork Maïlak Apprenti
Messages : 2 Date d'inscription : 19/05/2015
| Sujet: Lliork Maïlak ( terminée ) Mer 29 Juil - 18:58 | |
| Présentation Nom : Maïlak Prénom : Lliork Âge : 54 années humaines Race : Nain Faction : Voyageur du Temps Guilde : Guildes des Artisans Raisons du choix de faction :
Llirok a toujours hésité a rentrer dans cette faction, mais après maintes heures de réflexion, il finalement réussi à se décider à y rentrer. Tout d'abord, en tant que nain, il trouvais prestigieux de pouvoir perpétrer les tradition de ses ancêtres en entrant dans la guilde qui lui était attribuée à la base. Mais ce qui le poussa vraiment à choisir celle ci en particulier, c'est quand l'idée de pouvoir vivre de sa passion, la confection d'armes, et de pouvoir voyager pour vendre ses œuvres, en être fier, mais aussi afin de léguer son savoir aux personnes qu'il rencontrera tout au long de sa vie.
Rang : Famille : (pour hauts elfes) Métier : Forgeron Classe magique: Élément : (pour élémentalistes) Divinité vénérée : Aronax et Osha
Description Taille : Grand pour un nain, petit pour un humain ( 1m55 environ ) Poids : Environ 90 kg
Description Physique :
Lliork est grand pour un nain, petit pour un humain. Son visage est typiquement celui d'un nain malgré sa semis-appartenance à la race humaine. Comme tous ceux de son espèce, il est imposant : ses épaules larges, son armure forgé par ses ancêtres et léguée de génération en génération, et son lourd manteau en peau d'ours, doublent quasiment sa taille. Son visage, assez rond, tout comme son nez, ne lui donne absolument pas l'apparence humaine, ce qui ne le dérange pas plus que ça, n'en ayant jamais côtoyé beaucoup. Ses cheveux épais et noirs sont toujours détachés, même si Lliork a pour habitude de porter une sorte de bandeau en métal couleur or, orné de gravure. Comme la plupart de ses congénères, il porte également une grande barbe, dont il prend le plus grand soin pour paraître présentable. Llirok a deux grands yeux, d'un noir profond, dont le reflet exprime les milles merveilles qu'il a eu l'occasion de voir, tout comma la sagesse qu'il a acquise lors de ses nombreux voyages. Il porte une balafre, couvre son œil droit et descend jusqu'à sa pommette , qu'il reçu après l'une de ses périlleuses expéditions. Malgré son air assez sérieux, il arrive à Llirok d'arborer un large sourire, mangeant presque la moitié de son visage. Il a pour habitude de porter un large manteau en fourrure brun, qu'il enlève pour partir en expédition, mais qui est une part entière de lui. En ville, il ne sort rarement sans. L'armure qu'il met sous une chemise, généralement blanche, est ornée de nombreuses gravures ( spirales, triskels… ) et malgré son âge ancien, a gardé son éclat et sa solidité. Pour conclure, Lliork ne se sépare jamais de son épée préférée, qu'il a forgé lui même. C'est une épée de style wallonne.
Signes particuliers : Balafre sur sa joue droite
Description Psychologique :
Lliork est intelligent. Malin et fin, il aime passer du temps dans le coin d'une auberge ou seule sur une plaine haute où il pourra observer le monde qui l'entoure, à réfléchir pendant des heures en fumant sa pipe. Après avoir passé de nombreuses années de sa vie à voyager, il a eu l'occasion d'affiner son esprit. En rencontrant des personnes de toutes les régions, de toutes les professions, et de toutes les cultures et éducations, il a tenu à apprendre tout ce dont les autres étaient prêts à lui enseigner, mais sait qu'il a encore énormément à apprendre. Il garde un esprit très ouvert afin de pouvoir s'instruire le plus possible.
Lliork est patient, précis et perfectionniste Ayant déjà dû chercher certains matériaux pendant des heures et dans des conditions difficiles, Lliork a apprit à être patient. Il lui arrive de chercher plusieurs jours durant la moindre petite pierre précieuse qui donnera tout son éclat à l'arme qu'il est en train de créer. Il lui est aussi impératif de devoir répéter le même mouvement encore et encore lorsqu'il forge une lame ou autre. Ses coups doivent être parfaitement bien ajustés afin qu'elle soit exactement de la taille ou de l'épaisseur voulu. Jamais il ne dira avoir terminé une œuvre sans l'avoir examiné au détail près pour être certain qu'elle est parfaite.
Lliork est solitaire. Lliork aime la solitude. Passer du temps en compagnie d'autrui ne le dérange pas, mais il préfère largement s'isoler, loin du bruit et de la foule. La ville ne l'attire pas particulièrement, et ses longues expéditions en montagne pour trouver des minerais, qui peuvent parfois lui prendre plusieurs semaines, le plonge dans un état de bien être, malgré les nombreux efforts physique qu'il doit surmonter. N'entendre que le vent qui siffle et les chants des oiseaux emplit son cœur de joie, et même si il a parfois envie de retrouver le brouhaha et l'agitation de la ville, il ne rechigne jamais à devoir la quitter pour un moment.
Lliork est souriant Toujours à rire et passer du bon temps, Lliork aime aller dans des tavernes à boire avec ses compagnons. Il lui arrive de passer plusieurs heures là bas, à raconter des histoires farfelues qu'il dit avoir vécu, et à s'esclaffer aux blagues des autres. Déjà, sa grosse voix grave dépasse celle de tous, mais son rire résonne encore plus fort que dans une grotte, surtout lorsqu'il a bu. Llirok aime les blagues, les boutades entre amis, et les concours de bière. Malgré son raffinement et son élégance, il reste néanmoins un nain, à qui jamais personne n'a essayé de gommer les défauts.
Équipement : Lliork porte généralement une pioche, qu'il accroche à son dos, et une dague dissimulée dans une de ses bottes. Bien évidemment, accrochée à sa ceinture, se trouve ShadowSlayer ( nom qui n'est pas encore définitif ), son épée.
Histoire :
Lliork marchait en direction de la ville. Ses pieds lui faisaient souffrir le martyr, mais sans vraiment y prêter attention, le nain continuait inlassablement sa route. Il portait sur son dos un énorme sac de toile, rempli de pierres, de minerais en tout genre qu'il avait eu l'occasion de ramasser durant son voyage.
Il sifflotait.
Sans vraiment regarder où il marchait, il avançait à grandes enjambées, pressé de rentrer pour pouvoir forger quelques armes qu'il pourrait accrocher dans sa boutique pour l'enjoliver... Et éventuellement faire venir des clients... Tout en gambadant dans la grande montagne où il avait passé les dernières semaines, il ouvrait grands ses yeux, tout comme ses esgourdes, pour ne pas perdre une miette du paysage qui s'offrait à lui. Des roches grises et tortueuses tout autour de lui, et de temps en temps de l'herbes, des fleurs, parfois même des arbrisseaux où des oiseaux se posaient pour y goûter leurs fruits et profiter de la verdure environnante.
C'était un bel endroit. Et Lliork le savait.
Alors sans perdre une miette de ce qui aurait pu sembler comme une simple montagne rocailleuse, le nain s'arrêtait devant tout et n'importe quoi, s'émerveillant devant le moindre brin de feuillage qu'il pouvait trouver.
Bien évidemment, il avait hâte d'enfin pouvoir se reposer chez lui, ces derniers jours il n'avait pas eu le droit au confort d'un bon lit ou d'un repas consistant, mais à quoi bon partir en exploration si ce n'est pas pour en profiter un maximum.
Oui, les quelques journées qu'il avait eu à passer n'avaient pas été de tout repos. La météo n'avait pas été très clémente, et les endroits où s'abriter étaient rares dans ces endroits là, et Lliork avait dû, à nombreuses reprises dormir sous la pluie, ou dans un brouillard épais et humide.
Mais après toutes ces nuits abominables, où le nain n'avait pas hésité à pester contre la montagne, le vent, et lui même ( pourquoi donc avait il voulu aller chercher du minerai ? se disait il souvent ), Lliork avait trouvé la poule aux œufs d'or, la caverne d'Ali Baba, que dis-je l'Antre d'Aronax !
Une grande caverne, où au centre se trouvait comme un petit lac, une marre taillée dans la pierre, si elle ne s'est pas créée toute seule.
Les murs de pierres, haut comme jamais Lliork n'en avait jamais vu, brillaient à la réfraction de l'eau et des quelques rayons de lumière qui pénétraient cette endroit merveilleux. Le forgeron en fut bouche-bée. Ses yeux pétillaient à la vue de cette roche bleuâtre et étincelante. Il fit quelques pas, touchant la pierre du bout des doigts.
Au contacte froid du minerai, il sentit un frisson lui parcourir l'échine, tandis qu'il restait là, à contempler la beauté de sa trouvaille. Sans oser sortit sa pioche pour en découper un morceau, il avait avancé dans cet énorme endroit, où n'importe qui se serait trouvé minuscule, nain ou non. Au fur et à mesure Lliork ramassait les fragments de pierres qui étaient tombés. Bien trop respectueux envers cet environnement et la beauté de la nature, il avait clairement décider de ne pas toucher à un seul gramme de la roche si elle ne s'était pas déjà décrochée.
Après un temps fou où il avait déambulé dans les dédales de ce qui devait être une ancienne mine ( ou alors une merveille de la nature dont il n'aurait jamais pu imaginer l’existence ), son sac était quasiment plein à craquer. Évidemment, il avait pensé à laisser un peu de place pour le minerai qu'il était venu chercher en premier lieu, mais doutait de trouver de nouveau une pierre si belle avant un moment.
Voilà où en était notre forgeron. Heureux comme un farfadet au milieu d'un champs de trèfle, le cœur léger et impatient de pouvoir travailler la pierre et le fer qu'il avait trouvé durant ce voyage. Contrairement à ce qu'il avait prévu, il n'était pas resté plus de deux semaines dans la montagnes, et trois jours après avoir décidé de rentrer au bercail, il était en ville, près à forgé.
Tout juste avait il eu le temps de poser ses affaires dans l'arrière boutique, qui lui servait aussi de forge, qu'il entendit la cloche de la porte d'entrée sonner, pour lui indiquer qu'un potentiel client venait d'arriver. Il prit le temps de se passer un peu d'eau sur le visage, pour paraître présentable, et s'avança vers le comptoir, un sourire aux lèvres, comme toujours.
Le client était un homme. Dans ses mains se trouvait un parchemin qu'il tendit au forgeron. Intrigué, Lliork fronça les sourcils, et déplia le document :
« Forgeron de toutes les contrées, En ce jour, les modeleurs de métaux les plus réputés d'Aeoris sont conviés au Grand Concours de forge de la cité. Afin d'élire le meilleure armurier, une compétition sera organisée sur la Grande Place Centrale de la ville, dans la soirée, deux heures avant le couché du soleil. Les compétiteurs seront alors en mesure de créer l'arme de leur choix. Le gagnant aura l'honneur d'offrir son œuvre au chef de la Faction des Voyageurs du Temps ; Reivax Baëleän
Forgerons, soyez prêts, Votre heure de gloire est à portée de main »
Lliork resta un instant à fixer la lettre. Il la relu. Deux fois.
Lui, invité à faire partie de la compétition du meilleur forgeron ? De temps à autre lorsqu'il voyait qu'un concours était organisé, il venait y jeter un coup d’œil, par plaisir de critiquer leur façon de faire, mais surtout pour admirer certaines des plus belles armes qu'il n'avait jamais vu.
Lorsqu'il releva la tête pour voir l'homme qui lui avait apporté le parchemin, il avait disparu. Le nain avait dû être tellement happé par la lettre qu'il n'avait pas entendue la cloche d'entrée retentir de nouveau. Il sortit de son échoppe, regarder où le soleil se trouvait : il avait un peu plus d'une heure devant lui.
Dans l'arrière boutique, il décrocha son grand marteau qu'il accrocha à sa ceinture. Il ouvrit son sac, et vida tout ce qu'il avait ramener de son expédition, avant d'y mettre ses nombreuses limes. Pour conclure, il y ajouta aussi quelques uns de ses minerais de fer, et une roche étincelante. Il décrocha son grand manteau de fourrure, le mit, et attrapant son sac qu'il cala sur l'une de ses épaule, il sortit dans les rues d'Aeoris, prêt à relever n'importe quel défi.
Arrivé sur la grande place, il vit que de nombreuses forges portatives avaient été installées, afin que tous les participants aient de quoi modeler leur fer. Lliork ne put s'empêcher de remarquer qu'aucune d'entre elles ne se ressemblaient. Certaines étaient trop alimentées, et le feu brûlait bien trop fort, d'autres, au contraire, n'avaient que quelques flammèches qui ne tarderaient pas à s'éteindre. Le nain trouva une tout à fait appropriés et assez similaire à celle qu'il utilisait lui même. Tout était prêt autour de lui, mais il était presque seul. Il n'y avait que trois autres candidats d'arrivés sur la vingtaine qu'il supposait devoir y avoir. Il était en avance, et tant mieux. Une chose que Lliork avait du mal à supporter, c'était les personnes en retard.
Il commença à se préparer. Il enleva son manteau, déposa ses outils sur la tablette prévue à cette effet, attisa le feu, et sortit son fer pour qu'il soit à porter de main dès que la compétition commencerait. Pendant ce temps, de nouveaux arrivants commencèrent à s'organiser pour trouver les meilleures forges. Tant pis pour les retardataires.
Bientôt, un homme arriva face à toutes les forges, pour donner le départ. Quasiment tous les candidats étaient arrivés, et Lliork, serein mais concentré se mit au travail. Il doutait de gagner, il n'avait jamais fait de compétitions et il était autodidacte. Le peu qu'il savait, il l'avait apprit de son père, qui lui même l'avait apprit du sien, comme pour toutes les générations au dessus. Mais le nain aimait forger, et se n'était pas un simple concours qui allait lui faire perdre le premier but de son métier. Aimer le minerai et ce dont on en fait, pour la parfaire et lui donner une utilité. Respecter chaque parcelle de fer, car sans elles, rien ne serait possible.
Et c'est ainsi que Lliork commença la conception d'une épée. Dans l'idée qu'il n'était pas là pour gagner, mais pour faire profiter aux spectateurs la magie de la forge, et faire une nouvelle pièce qu'il pourrait également accrocher dans sa boutique. Dans son esprit, tout était clair. Il savait exactement ce qu'il voulait faire.
Et c'est ainsi qu'il créa l'épée qui allait lui faire gagner sa place de forgeron officiel des Voyageurs du Temps. Lliork n'avait pas bien comprit comment tout c'était déroulé. Tout ce dont il se souvenait vraiment c'était l'épée. Une belle pièce ! Avec quelques gravures et une poignée en pierre en forme de lion.
C'était la pierre qui l'avait fait gagner, il en était sûr. Un crétin aurait pu reconnaitre sa valeur, ou au moins l’estimer.
Il en était fier, de cette arme. Et un peu déçu de ne pas pouvoir l'accrocher dans sa boutique.
Son titre n'avait alors aucune importance à ses yeux. Il ne savait pas encore que celui ci allait lui donner l'opportunité de vivre de nouvelles aventures, dont il n'aurait pu soupçonner l'existence.
Et toi ? Âge : 15 ans Disponibilités sur le forum : Variable ^^ Avis sur le forum : J'ai hâte de commencer et savoir ce qui se cache derrière la page d'accueil, découvrir l'envers du décor ^-^ Tu connais le forum grâce à : Ai-je besoin de préciser n_n ? Si je connais ce forum, c'est bien à force de temps et de persévérance pour trouver quelque part où je me sentirais bien ( et puis un peu à Internet, sans qui rien de tout cela ne serait possible ) Remarques diverses :
Origine de l'avatar : (Si possible)
Confirmation de lecture du règlement:
| |
|
Reivax Baëleän ~ Maître des Voyageurs ~
Messages : 426 Date d'inscription : 13/08/2012 Age : 27
Livre des Héros Divinité: Aronax Guilde: Guilde du Dragon Rouge Résumé:
| Sujet: Re: Lliork Maïlak ( terminée ) Sam 22 Aoû - 21:30 | |
| *arrive en trombe et balance ses affaires sur le bureau* Je suis vraiment ultra méga désolé du temps colossal que tu as du attendre pour avoir ta validation (c'est une évidence mais j'y reviendrais plus tard). Je m'excuse platement car je n'avais pas prévu ça, je suis allé dans le trou le plus paumé au monde et le dieu internet m'a puni par son absence.
Enfin bon, puisque je peux ENFIN m'occuper de toi, allons-y. Tu nous as fait là une fiche très complète avec force de détails et de petites précisions pas forcément utiles mais qui ne font que rajouter à la beauté du tout. Tu arrives à varier les expressions et à donner une certaine poésie à ton texte et c'est d'autant plus agréable à lire. Je dirais aussi que: AAAAAAH! ENFIN UN NAIN! Depuis le temps que j'en attendais un dans ma faction, tu m'offres là un nain comme je n'aurais même pas pu l'imaginer tellement il est mieux que ce que je voulais. Un nain qui n'est pas stéréotypé comme étant un gros bourrin finit, un nain sensible et artiste dans l'âme. Le seul point que je te "reprocherais" (même si c'est juste une préférence personnelle, ne prend pas du tout ça pour une vraie remarque), c'est que ton nain utilise une épée. J'aurais trouvé plus logique qu'il emploie un marteau ou une masse mais c'est vraiment un point de détail (et j'avoue qu'il m'arrive d'aimer les stéréotypes dans le genre nain=hache/masse/marteau)
Enfin bref, tout ça pour dire que tu es acceptée et avec plaisir. Tu es d'ores et déjà colorisée et peut donc jouer quand bon te semble. Tu sais déjà te servir de la cb et c'est parfait, si jamais tu as une question, tu sais comment me joindre.
Encore une fois bienvenue et amuse toi bien sur les terres d'Aeoris.
Rei' | |
|